Un oeil à mi-clos ( Yaya Higurashi)

Yaya était arrivé au pensionnat il y a que tres peu de temps et elle avait encore tendance a se perdre. Elle marchait d'un pas lent rapide dans les grands couloirs du pavillon du soleil elle cherchait une piece commune ou quelque chose comme ca n'arrivant pas a trouver le sommeil. Le bruit de ses talons aiguilles raisonant a chaque pas. La demoiselle portait un slim en jean tres foncé avec un petit t-shirt blanc lui arrivant largement au dessu du nombril avec un petit dessin au centre. Elle était habillé tres décontracté, enfin pour elle, et avait posé l'uniforme des la fin des cours le trouvant horrible! Au bout d'une demi heure de recherche intensive elle finit par arriver dans ce qui devait etre une salle commune, a sa plus grande surprise elle n'était pas seul. Il y avait deja une jeune fille tranquilement installé sur l'un des grand canapé. jettant un vague coup d'oeil vers elle, Yaya remarqua un petit livre sur la sorcelerie. L'adolescente ne croyait pas vraiment a ce genre de chose. Elle s'avanca doucement vers l'autre fille, s'assayant déliquatement sur l'un des canapé elle la regarda en souriant avant de se décider a se présenter...

Yaya, ravie de te rencontrer! Comment tu t'appelles?

La demoiselle aimait bien faire de nouvelle rencontre, et puis elle parlait facilment, étant capable de raconter sa vie a un inconnu! La demoiselle était tres bavarde. Elle enleva rapidement ses bottes laissant apparaitre de grande chaussettes rayé noir et blanc. Elle s'assit alors en tayeur, prenant un oreillé dans ses bras pour le serrer contre elle, par habitude.

Yaya souriait toute contente, la jeune fille semblait aussi extravertie et bavarde qu'elle! Restant tranquilement asssise en jouant avec les coins du coussin, du bout des doigts. Elle jetta un vague coup d'oeil a la grande horloge, oula il était tard! Elle n'avait pas remarqué qu'il était plus de 1h30 du matin!

Moi aussi j'aime bien rester dans le noir, a rien faire!

L'adolescente reposa le coussin sur le coté, pour pas éssayer de le déchicter... Quand elle a quelque chose dans les mains elle n'en prend que rarement souin. Redressant la tete vers Tellie elle se mit encore a sourir.

Bah j'arrive pas a dormir, alors j'me ballade et je me suis perdu das les couloirs! C'est vraimet trop grand ici...

Yaya se mit a rire, elle se trouvait vraiment idiote des fois! Surtout quand elle se perdait comme ca, aussi facilement. Alors elle se moquait un peu d'elle meme! La jeune femme n'avait pas l'habitude de se prendre au serieu.

Et toi tu fais quoi?? L'est bien ce livre?

L'élève pointa alors du doigt le livre qu'elle avait apercu juste avant.

Heureuse qu'une personne puisse la comprendre, enfin, Tellie se laissa allé et se mit à rire avec elle. Qu'est-ce que ça pouvait faire du bien de rire! Prendre le temps de voir qu'une journée peut se révélé joyeuse et divertisante. Des moments simple de la vie son souvent les meilleurs, il suffit de leurs donner un sens.

- Ouais vraiment trop grande. Je ne suis même pas sûre d'avoir visiter la moitié des pièces, rit-elle, je me suis endormis devant un livre qui raconte de vraies salades à dormir debout.

Elle ria de plus belle, consciente qu'elle se retrouvait et qu'elle adorait ça. Tellie se tourna vers Yaya et pris ses genoux dans ses mains. Yaya était vraiment quelqu'un d'adorable. Tellie l'apréciait déjà.

- Ou dans mon cas à plonger dans un profond sommeil. Tu crois à se genre d'histoire? demanda-t-elle Tellie en s'emparrant du livre de sorcellerie et en le tendant à Yaya.

Une voix masculine résonna dans la pièce se qui fit sursauter Tellie qui lacha le vieux livre. Elle vit un garçon qui s'appellait Gon, d'après ce qu'il dissait, et s'était absenté durant quelques mois parce qu'ils s'étaient fait mordre au cou par une bête sauvage.

*C'est une bête sauvage qui a fait ça! Regardez son cou!* C'était les paroles du commisaire chargé de l'enquête sur la mort de son père adoptif. Ces paroles résonnèrent dans la tête de Tellie durant un moment.

Puis elle revint à la réalité. Elle regarda avec tenacité les katanas du garçon mais essaya dene pas se laisser distraire.

- Salut je m'appelle Tellie Grey, j'ai 17 ans ... et Oui une nouvelle tête, dit-elle toujours souriante.

Yaya n’eu même pas le temps de prendre le livre qu’elle trouvait d’une idiotie terrible que quelqu’un entra dans la pièce. Il avait l’air beaucoup plus jeune que les deux filles, elle l’écouta se présenter attentivement, alors il n’avait que 13 ans ! Il était encore jeune et pourtant il avait déjà des Katanas. Ca ne rassurait pas vraiment de voir un pré ados avec ce genre d’objet coupant. Oui, la jeune fille était un peu sur protectrice avec les gens… La demoiselle se leva en souriant, regardant le jeune garçon, Gon, *chouette prénom* pensait-elle.

Ravie de te rencontrer Gon, moi c’est Yaya, 16 ans … Si un jour j’ai un gros problème je t’appelle alors !

Toujours en souriant elle attrapa le livre que lui tendait juste avant Tellie, fit mine de le regarder un peu avant de le reposer et de regarder Tellie, un petit air gentil sur le visage.

Nan je crois pas a ce genre de coneries …

Yaya se rassit a sa place, toujours en tailleur et reprit son cousin pour recommencer a jouer avec l’un des angles. Elle avait toujours un grand sourire accroché aux lèvres, de toute façon elle souriait tous le temps… Se retournant vers Gon elle lui lanssa un regard amical.

Tu veux venir t’asseoir avec nous ?

Tellie regarda Gon prendre place prête d'elles, sans pour autant trop se rapprocher. Elle contemplait ses Katanas et se rappellait de son jeune âge.

*Le pauvre quand même, 13 ans et déjà des complications avec ... "une bête sauvage" * sondeait-elle.

Le passa son regard sur Yaya toujours aussi chaleureuse, puis sur le livre qu'elle venait de reposer.

*Ouais des conneries* s'efforceait-elle de penser.

Puis elle sortit de ses rêveries pour se reconcentrer sur les membres de la pièces. Et s'adressant à Gon avec un sourive jusqu'aux oreilles et lui demanda:

- Et toi, pourquoi es-tu là? Tu n'arrivait pas à dormir?

Puis elle ria en poursuivant :

- Au moins on galère tous ensemble plutôt que seuls dans nos lits.

Elle ria de plus belle en pensant à sa propre tête si s'était le cas.